Une petite romance érotique qui ne casse pas trois pattes à un canard, mais comme le héros est un dieu vivant, ça passe !
Attention les yeux, Connor Bruce (on a dit qu’il était beau, pas qu’il avait un nom qui fait frémir la partie inférieure de votre corps) arrive, dans vos rêves puis dans la réalité !
Second tome d’une série, après avoir suivi les aventures de Lyssa et Aidan, nous suivons celles de Stacey (la secrétaire de Lyssa) et de Connor (le bras droit d’Aidan) (oui, ils ne sont pas allés chercher bien loin). Mais heureusement, ses pectoraux (et son pectoral du bas) sont là pour rattraper le coup. L’histoire ? Ah oui. Alors Aidan et Connor sont en fait des gardiens des rêves. Ils protègent les rêveurs des cauchemars (c’est-à-dire qu’ils prennent le physique de George Clooney pour coucher avec des filles dans leurs rêves, comme ça elles ne font pas de cauchemars… vous suivez ?). Or Aidan, dans le premier tome, est tombé amoureux de sa rêveuse, Lyssa (qui en plus se trouve être la Clé, mais là je vous laisse lire). Il a donc décidé de passer dans le monde réel, et depuis ils vivent ensemble.
Dans ce second tome, Connor doit retrouver Aidan. Il passe donc à son tour de l’autre côté, et arrive tant bien que mal chez Lyssa. Mais ne voilà-t-il pas qu’il tombe sur Stacey, une jeune mère célibataire, qui garde le chat de Lyssa (oui oui). Et donc ils couchent ensemble (entre les deux actions, celle d’ouvrir la porte et celle de se retrouver nu sur le canapé, il y a une espèce de no man’s land).
Bon, et après il y a des péripéties (ouh lala), mais bon, ça ne les empêche pas de continuer leur activité favorite (non non).
Bref, un peu sans intérêt, mais on rigole de temps en temps quand même (surtout dans les dialogues). Je n’arrive pas trop à voir où elle veut en venir avec son histoire de Clé, de cauchemars, d’artefacts et tout, mais bon, on verra bien !
La nuit leur appartient tome 2, La désirer, c’est la condamner, Sylvia Day, Michel Lafon, 2014
There will be books 