Un titre qui partait d’une jolie idée, mais qui m’a fortement déçue.
L’immeuble où habitent Doria, son père Max et son neveu Simon, mais également Sacha, l’artiste en mal de reconnaissance, Manuela, qui gère un sex-shop au fond de la cour, Vittorio et Massimo, les deux Italiens, Karim, qui s’occupe du bar qui donne sur la rue, les Delgado, Félix, Léo l’architecte… va être vendu, et les locataires sont donc priés de dégager fissa. Mais les habitants de l’immeuble n’ont pas dit leur dernier mot…
Autant le pitch, comme je le disais, était sympa, autant la réalisation m’a laissée de marbre. Les personnages sont stéréotypés, on a envie de tous les suivre mais l’auteur (et c’est normal), se focalise essentiellement sur Doria, l’héroïne. On ne sort pas de l’immeuble, mais cet aspect huis-clos finit par devenir lassant.
Quant à la romance, elle passe un peu au-dessus, n’attirant de sympathie ni pour Doria, ni pour ses conquêtes.
Bref, loin d’être une réussite pour moi…
Grands boulevards, Tonie Behar, JC Lattès, 2013
There will be books 