Résumé de l’éditeur : Howbutker, Texas, 1916. À la mort de son père, la jeune Mary Toliver hérite de la plantation de coton des Toliver, l’une des familles fondatrices de Howbutker. La jeune femme devra-t-elle sacrifier son amour pour Percy Warwick, magnat de l’exploitation forestières, pour faire vivre le sol de ses ancêtres ? Confrontés aux trahisons, aux secrets et aux tragédies qui les entourent, renonceront-ils à ce qui aurait pu exister, non seulement pour eux, mais aussi pour les générations suivantes ?
Dans ce livre haletant, écrit comme on filme une série TV, Leila Meacham renoue avec les codes des grandes sagas historiques pour mieux les réinventer. Traduit dans vingt-cinq pays, ce roman d’amour et de sacrifice a déjà conquis les lecteurs du monde entier.
« Une saga captivante qui n’est pas sans rappeler Autant en emporte le vent.» (Publishers Weekly)
« Une épopée sudiste digne d’un grand film.» (The New Yorker)
Un très beau texte qui rappelle effectivement Autant en emporte le vent : l’attachement de Mary à Somerset est semblable à celui de Scarlett pour Tara. Une histoire de femmes, de famille, d’amours impossibles et de règlements de comptes comme on les aime ! On se laisse vraiment emporter par ce livre qui fait du bien, et pour un premier roman, les éditions Charleston ont frappé fort ! Pour en savoir plus sur cette nouvelle maison, je vous renvoie à l’article « Les éditions Charleston » dans Actualité du Livre.
Les Roses de Somerset, Leila Meacham, Charleston, 2013
J’ai adoré ce livre mis à part la dernière partie sur Rachel qui m’a paru un peu en dessous! Une très belle histoire! 😉
Bonjour Fanny,
effectivement, la dernière partie est un peu moins passionnante que le reste, néanmoins je trouve qu’elle permet de faire le lien avec toute l’histoire de Mary et de donner l’idée d’une certaine continuité familiale en quelque sorte. Mais je dois avouer que mon côté midinette a quand même apprécié 😉